Chine – Afrique : Formation des jeunes africains en technologie
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La révolution technologique
Dans l’atelier Luban à Tianjin, dans le nord de la Chine, de nombreux jeunes espèrent réaliser leurs rêves et contribuer au développement économique et social de leur patrie. Un stagiaire de l’atelier Luban, Handiso Selamu Yisihak de l’Ethiopie déclare : « La première chose est que le système d’ateliers Luban et les centres de formation contiennent des technologies de pointe. Vous pratiquerez immédiatement ce que vous avez appris. »
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Nommés d’après le légendaire menuisier chinois Lu Ban, ces ateliers visent à partager les compétences par la pratique en technologie et l’expérience chinoises avec le monde. L’enseignement professionnel est considéré comme primordial sur le continent africain, offrant aux jeunes la possibilité d’entrer dans les industries émergentes.
L’expérience des jeunes
Abakuma Getachew Belay, un stagiaire de l’atelier Luban en Ethiopie déclare : « De nos jours, tous les secteurs manufacturiers utilisent des robots et des capteurs. Ces choses aideront mon pays à se moderniser. Cette robotique, ces [choses] que nous apprenons ici, [nous pouvons] les appliquer à de nombreuses industries. » Tigist Haile Mariam, stagiaire de l’atelier Luban s’exprime également : «…..Quand je retournerai dans mon pays, je veux être une personne plus compétente et je veux travailler dans différents types de parcs industriels. »
Pendant que l’initiative chinoise Belt and Road (BRI) entre dans sa dixième année, de plus en plus d’étudiants et de professionnels africains suivent des ateliers Luban en Chine et dans leur pays d’origine. Avec la reconnaissance croissante du concept de développement de l’Afrique centré sur l’application de la technologie, le projet a gagné en popularité.
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