France : la question sur l’avenir des étudiants africains fuyant la guerre en Ukraine

Au total, une vingtaine d’université françaises sont en période de pré-accueil et accepte les inscriptions des étudiants réfugiés. D’après les règles du gouvernement, seuls les étudiants ukrainiens avaient l’autorisation à un statut spécial leur permettant directement l’accès aux universités françaises. Pour les autres étudiants de nationalité diverse, ils sont accueillis dans la mesure où ils ne pourront pas rentrer dans leur pays d’origine.

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Un effectif inconnu

Combien sont-ils ses étudiants non-ukrainiens, le nombre est toujours inconnu ? Par ailleurs, l’université de Strasbourg par exemple a accepté 29 inscriptions d’étudiants non-ukrainiens au cours des deux semaines précédentes. D’après le rapport de l’Unesco, 61 000 étudiants étrangers étaient enregistré en Ukraine avant le début de l’invasion russe.

En amont de leurs intégrations dans les diverses universités, ses étudiants non-ukrainiens, provenant pour la majorité de pays francophones doivent suivent des cours particuliers de la langue française. Par conséquent, une remise à niveau de leur français est primordiale avant la rentrée prochaine.

Des aides sollicitées

A la suite de l’université, l’intégration. Pour bon nombre, en raison de manque de documents administratifs, ils sont pour la majorité en situation irrégulière. Néanmoins, les organisations qui plaident leur cause font un recours au ministère français de l’intérieur à simplifier l’intégration de l’université non-ukrainienne. Une aide qui pourrait être octroyée à leur égard par exemple, l’acquisition des bourses et des logements.

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