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Ghana : une poursuite judiciaire contre une femme d’affaires chinoise

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Au Ghana, toutes les intentions sont tournées vers le procès d'un Chinois du nom de Huang Aisha. Elle fait face à une accusation portante sur l’exploitation minière illégale.
Au Ghana, toutes les intentions sont tournées vers le procès d'un Chinois du nom de Huang Aisha.
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Il y a 5 ans, la femme d’affaires a été mise en examen pour la même exploitation illégale de minerais et de ressources naturelles. D’après les informations, elle exploitait de façon illégale des ressources naturelles comme l’or et du bois dans la localité d’Ashanti.  

Après des premières inculpations en 2017 et 2018, l’opinion publique ghanéenne était perplexe face à l’ambiguïté de sa sortie du pays. Les autorités ghanéennes se sont alors contredites. Ils avaient dit qu’elle avait été expulsée, voire expulsée, en 2019. De son côté, la justice s’est référé à la piste divulguée. Le président ghanéen a ajouté à la confusion. Lors de la conférence de presse, Nana Akufo-Addo n’a pas été en mesure de résoudre l’ambiguïté sur l’expulsion ou le retour d’Aisha Huang.

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Finalement, le ministre Yaw Osafo-Maafo a reconnu l’extradition vers Pékin, une décision justifiée par « excellentes relations diplomatiques entre le Ghana et la Chine ».  

Arrêté pour trois accusations

Aisha Huang, de nom populaire « Galamsey Queen » par les médias locaux (la reine de l’exploitation minière illégale) sera jugée cet automne par le tribunal pénal spécial d’Accra avec 3 autres compatriotes. La femme de 47 ans a été arrêtée à Kumasi en septembre et inculpée d’exploitation illégale d’or et de bois à Bepotenten, dans la région centrale d’Amansie, dans la localité d’Ashanti.

Trois différentes accusations sont sur ses épaules. Celles-ci comprennent la participation aux opérations minières, mais également d’opérations sur les minéraux et les exploitations minières.

L’opinion publique

Par ailleurs, de retour au Ghana pour la même activité illégale ont provoqué beaucoup de commentaires sur elle. L’avis public estime qu’elle bénéficiera du soutien des responsables ghanéennes.

Au cours de la dernière comparution devant le tribunal, la femme d’affaires s’est évanouie devant le tribunal et a dû être transportée d’urgence à la clinique de la Haute Cour pour y être soignée. Elle a clamé son innocence.

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