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Kenya : les abeilles africaines menacées de disparition sous l’usage des pesticides

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Pendant les trente dernières années, la communauté de pollinisateur s’est rabaissée dans le monde entier pour diverse causes. La plus probante est notamment, l’exposition aux pesticides et aux herbicides.
Pendant les trente dernières années, la communauté de pollinisateur s’est rabaissée dans le monde entier pour diverse causes. La plus probante est notamment, l’exposition aux pesticides et aux herbicides.
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Le risque d’extinction des abeilles

Au Kenya la situation est la même, l’influence des pesticides à effondrée le peuple des abeilles. Ainsi, cela a une conséquence directe sur leur capacité à se nourrir et la production des ruches.  Par ailleurs, les scientifiques expliquent d’autres sources de menaces agissant sur les abeilles telles que : les ravageurs et les maladies envahissantes, la chute d’habitat, d’espèces et la diversité génétique de même que le changement climatique. Cependant, l’impact principal est la contamination par les pesticides qui est très répandue. De même, des niveaux de substance toxique  peuvent avoir une conséquence sur l’aptitude de recherche de nourriture des pollinisateurs ainsi que de la productivité des ruches.

Mesures de sauvegarde des abeilles

C’est ce que le Dr. Elliud Muli de l’Université du Kenya souligne : « le défi le plus important est la dégradation de l’environnement. Les gens coupent les arbres à cause de la pression démographique, les gens s’y installent, les gens veulent bâtir des femmes et chaque fois que les gens coupent les arbres, cela entraîne une série d’effets. Par exemple, nous savons que les abeilles à miel survivent grâce à deux produits issus des plantes, le nectar et le pollen, et chaque fois que vous abattez des arbres, vous vous débarrassez du nectar et du pollen, qui constituent la nourriture des abeilles. »

Et selon John Henry Ogonda, du département des sciences de l’environnement de l’Université Africa Nazarene, il mentionne une nouvelle approche plus biologique pour combattre les parasites qui menacent la population des abeilles : « Nous devons minimiser l’utilisation de ces substances chimiques et encourager les systèmes écologiques de contrôle de ces problèmes. Par exemple, l’utilisation d’intervention biologiques lorsqu’il s’agit d’une invasion de sauterelles. »

Depuis 70 ans, c’est en 2021 que l’Afrique de l’Est a connu sa pire attaque de criquet. Au lieu d’appliquer des pesticides pour lutter contre cela, ces criquets ont fait l’objet de recherche au sein de l’université de Jomo Kenyatta de l’agriculture et la technologie. Où les scientifiques les ont moulus et mélangés à d’autres produits pour lutter contre ces parasites.  

Près de 35 % de tous les pollinisateurs invertébrés spécifiquement les abeilles et les papillons sont à risque d’extinction, évoquer par les Nations Unies.

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