Nigeria : la sécurité menacée dans le sud-est du pays

En effet, l’exaction de trop pour le chef du gouvernement nigérian a été l’agression à la dynamite d’un poste de commissariat d’Oru dans la région d’Imo, dimanche. Bien que les autorités nigérianes proclament avoir éloigné cet assaut, et incarcéré 4 assaillants. Tandis qu’à la veille deux officiers sont morts dans cette même région.

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Au total, on compte environ 100 policiers et membres de force sécuritaire qui ont perdu la vie dans cette région du Nigeria depuis l’année passée. Dans cette situation, le président nigérian critiqué pour sa résistance contre les bandits et troupes djihadistes qui envahissent les pans entiers du Nigeria. Ainsi, Muhammadu Buhari est donc guettées au carrefour, à fortiori, à l’approche de la campagne présidentielle de 2023.

Par ailleurs, les autorités nigérianes condamnent particulièrement le Mouvement indépendantiste pour les peuples indigènes du Biafra, et son soutien  paramilitaire d’être à la cause des attaques violentes et meurtrières présentes dans la région. Néanmoins, il porterait leur soutien de voir renaître la défunte « République du Biafra », dont la déclaration d’indépendance avait provoqué une guerre civile de 30 mois entre 1967 et 1970. Toutefois, des affirmations réfutées par le gouvernement ont été fait.

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