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Soudan: combat à mort entre les deux généraux Burhane et Daglo

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Le conflit entre les forces armées du Soudan et les forces de soutien rapide a tué au moins une centaine de civils. L'intensité de la bataille lundi dans Khartoum demeure forte jusqu’au troisième jour des combats. Une bataille entre l'armée avec les puissantes forces quasi-militaires qui a été menée par deux généraux de pouvoir compétitif.
Le conflit entre les forces armées du Soudan et les forces de soutien rapide a tué au moins une centaine de civils.
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Les signes montrent qu’Abdel Fattah Al -Burhane et Mohamed Hamdane Daglo, le patron de l’armée, révèlent « Hemedti, responsable des paramilitaires, les tensions perdurent. Alors qu’en octobre 2021, ces deux généraux orchestraient ensemble un coup de force contre la transition post-Omar el Béchir. »

Appel à la paix

L’union sacrée entre le responsable du conseil de transition et de son adjoint semble ne pas être en mesure d’exempter des forces de soutien rapide dans l’armée. De plus que la gestion des soldats et des armes.

Samedi, deux clans, ont brûlé la poudre dans le Khartoum et la région voisine d’Omdurman.

Il semble que les principaux points de non-retour aient été atteints. Burhan et Dagalo ont demandé à l’autre partie de le faire et d’empêcher le consentement de la reprise de la transition. Le Conseil de sécurité doit se réunir lundi pour fournir une issue de la crise. Après la Ligue arabe et l’Union africaine, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont appelé à la « cessation immédiate » des violences.

Cependant, la pression de la monarchie du Golfe près de l’armée et du quasi-militaire est très importante. L’analyste américain Cameron Hudson a déclaré : « Sans cette pression, nous pouvons participer à un conflit similaire à la guerre des tigres (Éthiopie). »

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