Le Royaume-Uni et le Kenya affirment que le plan de recrutement d’infirmières est toujours d’actualité
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Les gouvernements kenyan et britannique ont démenti la fausse information stipulant l’arrêt du projet de recrutement d’infirmières kenyanes au chômage pour travailler au sein du National Health Service (NHS) britannique.
Un article sur le site web de NHS Employers a créé une certaine confusion. « Les employeurs et les agences de recrutement, y compris les trusts du NHS, doivent arrêter tout recrutement actif de personnel de santé et de soins sociaux du Kenya au Royaume-Uni avec effet immédiat. », a rédigé le NHS Employers.
La raison de ce changement était que le Kenya avait été ajouté à une liste britannique de pays où il y avait une pénurie d’infirmières et d’autres travailleurs de la santé.
En juillet, le Royaume-Uni et le Kenya ont signé un accord permettant au Royaume-Uni de réduire les pénuries d’emploi dans le NHS en recrutant des infirmières kényanes au chômage.
Vendredi, les autorités kenyanes et britanniques ont déclaré que cet accord était toujours d’actualité. L’interdiction de recrutement ne s’applique pas tant que le Kenya respecte les clauses de l’accord de gouvernement à gouvernement.
Le communiqué précisait que l’interdiction visait à empêcher les entreprises privées de profiter de l’intérêt accru, ainsi qu’à mettre fin au recrutement incontrôlé.
Le ministre kényan de la santé, Mutahi Kagwe, avait déclaré que 20.000 infirmières kényanes feraient le voyage.
Mais jusqu’à ce jour le nombre d’infirmières recrutées dans le cadre de ce programme est inconnu.
Le mois dernier, Mutahi Kagwe a déclaré que seuls 10 des 300 agents de santé ayant passé le test d’anglais requis l’avaient réussi.
